“Ne soit pas esclave de l’épicerie”
Esclave
Nous vivons dans un monde d’abondance. Le réflexe de réserve alimentaire n’est pas ancré dans nos habitudes.
Avec les événements récents, plusieurs se sont rendus compte qu’ils sont dépendants de la chaîne alimentaire.
Quand un événement bouleversant survient, aimerais-tu pouvoir éviter le stress alimentaire? Ou du moins, l’atténuer?
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Manger local
Plus que 3 mois par année
Le Québec produit de plus en plus de fruits et légumes à l’année. Évidemment ce n’est pas tout qui est disponible de manière ‘fraîche’.
Augmenter notre consommation locale demande quelques petits changements d’habitude.
Des fruits locaux en hiver? Un smoothie fait de fruits congelés. Ou même une compote pomme-fraises. Des confitures. Des morceaux de fruits en sirop léger.
L’épicerie coûte cher
Épicerie
Être à la merci du taux de change
En suivant ce que l’épicerie nous offre, nous devons subir la hausse constante du prix du panier. Pourquoi? Puisque les légumes/fruits que nous importons sont négociés en dollars américains.
En faisant provision auprès de nos producteurs d’ici, nous redonnons à notre économie mais aussi à notre propre poche en diminuant nos frais.
Pourquoi faire des conserves?
Pourquoi
Économie d’argent
En suivant les récoltes locales, cela permet une économie versus l’achat d’aliments importés hors saison.
Provenance
En s’approvisionnant localement, nous pouvons poser des questions sur les méthodes de culture. De plus, nous aidons des entreprises d’ici et nous faisons travailler NOS gens.
Contrôle qualité
On choisit les ingrédients que nous voulons utiliser. Le contrôle sur le sel, le sucre, les additifs et le colorant.
Fierté
Il faut le vivre pour le comprendre.
Voir le travail de notre labeur.
Le savourer.
L’offrir en cadeau.



Véronique Lecours
Formatrice
Chaque été, la table familiale se remplissait de fraises du Québec. Ma mère nous amenait dans les champs pour faire de l’auto-cueillette. Ce n’était pas une option de ne pas aider. Au retour, nous aidions à équeuter le tout.
Ma mère congelait sa gelée de fraises plutôt que de la mettre en conserve.
Mais il reste que j’ai de bons souvenirs du processus. J’ai aussi le souvenir de ma mère qui faisait des betteraves et des tomates.
J’ai essayé mes premières conserves en 2006, enceinte jusqu’aux oreilles. Ce fut une catastrophe. Des produits perdus puisque je n’avais pas suivi de méthode sécuritaire. Ça coûte cher faire des erreurs du genre.
D’années en années je me suis formée et j’ai augmenté mon niveau de difficulté de mise en conserves.
Alors qu’au début, c’était une épuisante corvée, maintenant j’anticipe avec excitation mes séances. Pourquoi? Parce que j’ai établi des routines et des étapes claires.
Cours en ligne
Formation

Ce que tu apprendras
- – Mise en conserves sécuritaires
- – À l’eau bouillante
- – Autoclave
- – Recettes
- – Méthodes de travail
Et aussi :
- Accès à un groupe Facebook
Profite du pré-lancement
Prix de pré-lancement : 60$+tx.
Lancement le 3 juin

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